lundi 26 mars 2007

Christine

Parfois, j'ai l'impression d'être un grand vase de christal, très fin, ciselé (je ne comprend pas ce mot, enfin, je le vois pas, mais bon, du christal, c'est toujours ciselé), et solide.
Pourtant, le christal, en quelques secondes c'est par terre, en morceau.
Parfois, j'ai l'impression d'être un grand vase en christal, solide en apparence, mais que le frôlement d'une robe fera exploser en morceaux.
Heureusement, ce n'est plus la mode des robes de Scarlett - ou pas, moi je les adore, ces robes de princesse...
Parfois, j'ai l'impression d'être cassée, brisée, ou sur le point de l'être, fendillée, léardée, mais ce ne sont que des impressions.
Parfois, j'ai l'impression de briller, d'étinceler, que mon rire ou mon sourire m'illumine. C'est le quack, des fois, il est magique. Et ce ne sont pas que des impressions ^^

samedi 24 mars 2007

XD et vive l'autodérision

On était bête quand même.
Histérique. CCL : crier, quand on a mal à la gorge, ça fait mal, on a l'impression de déchirer qualque chose, sa voix ptet...
"Trop de cheveux, trop grande, trop de travail..." peur de l'entendre ce soir.
Trop de travail, pas assez, ils ne sont jamais contents.
Ca fait pas comme je l'imaginais. Ca change rien en mieux, ou alors c'est moi. Il y a des lumières, des souffles, quand même, qui réchauffe le coeur. L'impression que eux, qui ne devraient ptet pas, sont aussi fiers. En fait, j'ai peur des reflexions d'alice et d'abel, qui comprennent pas pourquoi et pour quoi je travaille.
On devrait ptet se féliciter de travailler. On devrait surtout jamais être critiqué.
On en revient toujours là : je ne veux pas être spéciale, différente. Mais personne ne veut croire que je suis comme les autres. C'est pas de bol...
Ce matin, j'étais plus histérique que je ne l'ai jamais été depuis ... enfin, plusss quoi. Probablement trop de [pression ou angoisse ou travail] et pas assez de [fatigue]. Et trop d'[emmerdements].
C'est vrai, de quoi se mèlent les microbes?
Vous vous souvenez du petit prince? Jvais mciter, pour le fun, pis parce que c'est une phrase fun que j'aime parce que.
"Et le petit penicilline s'en va tristement apprivoiser le lactoserum : dis, dessine moi un granulocyte s'il vous plaît..."
Mais alors au final, au tout du tout, c'est quoi l'important?

(Je ne sais pas où ni pourquoi, mais XD et vive l'autodérision.)

lundi 19 mars 2007

RESULTATS

You're just playing at "tout va bien ne t'en fais pas", pas seulement avec vous mais avec moi aussi. Un peu tendue mais confiante. Calme.
Fall apart. Un seul mot - RESULTATS. Comme quoi j'ai encore des choses à apprendre.
Comme quoi trop d'assurance, ou trop de sincérité, c'est la merde dans tous les cas.
I'm just falling when I think I might not have it. Can't imagine.
Et dire que je n'ai rien fichu depuis la rentrée. C'est ptet pour ça, que j'en pouvais plus.
Je ne veux pas redoubler, je préfèrerais pas. Parce qu'alors, les résultats...
Mais j'en suis sure, je veux être médecin.


C'est un peu comme quand j'ai fait un malaise. Jme sens trahie. Jme croyais plus solide que ça. A 16 ans on tombe pas par terre parce qu'on a pris le métro.
Voilà. Jpensais que ... j'avais assez bien réussi, assez confiance, que je gérais pas trop mal le stress. Qu'il n'y en avais pas tant que ça. Je ne pensais pas, ptet que j'ignorais le problème. Je le considerais pas comme un problème. Seulement voilà, le stress, insidieusement, derrière mon dos. Et l'exigeance.
Ca vous rattrape. En fait, je n'y comprend rien.
Ce n'est même pas que.. je pense toujours que j'ai admirablement bien réussi et que c'est dans la poche. J'ai peur d'être déçue, mais c'est pas tellement ça.
C'est le "si" qui me fout la trouille, qui me fait tomber par terre. Pour lequel je n'ai pas de réponse.
Si je ne l'ai pas, je fais quoi?
Je redouble. Mais la question continuera à se poser.
Si je ne l'ai pas, je fais quoi?

vendredi 16 mars 2007

Jonquille

Ma semaine est finie ^v^

dimanche 4 mars 2007


Le Quack est un personnage dur à porter.
Parfois, quand la lune est pleine et la journée vide.

Comme d'habitude. J'ai eu le malheur de me rappeler du concours, alors voilà, je midéfixe. Et puis c'est le soir, il fait nuit et je suis fatiguée. Comme d'habitude.

Finalement, je suis facile à vivre : il ne faut pas me parler le soir, ni trop tôt le matin, ni quand je suis de méchante humeur, ni de mezidéfixes. Dans ces intervalles, je suis plutôt bien, parfois songeuse, parfois trop bavarde, parfois un peu séche, mais je n'impose rien. Ou presque ^^

jeudi 1 mars 2007

αbête

ah baie ces dé euh elfe geais hache whee git cas aile aime haine eau pet cul air esse thé uh! vais wizz



Sur heme est-ce aine
Avec 50|_3^/3
Entre bavardage, lolitude, cartes de France et mines de crayon
En plein mélostupidrame

hihi on s’amuse bien