lundi 8 décembre 2008

Everyone so fucked up, I need to buy Bailey's.

I've loft my left lense three times in two months, and I fear the moment when I'll be out of drugs.

Dire Ceci pour Cacher tout Cela.

I have only sunny pictures.

lundi 1 décembre 2008

las

il est tard et la liste est longue, mais hier, nous avons rempli 98 cartons de nourriture. 98.

mercredi 5 novembre 2008

dreamlike

"It's the answer spoken by young and old, rich and poor, Democrat and Republican, black, white, Latino, Asian, Native American, gay, straight, disabled and not disabled - Americans who sent a message to the world that we have never been a collection of Red States and Blue States: we are, and always will be, the United States of America."

full speech

lundi 3 novembre 2008

esCape

In the books, world of fantasy and words of wisdom
In my bed, warm and soft
To the movie, the dark silence in my head
To Kérisol - eScape - to the Ocean

Yet, I came back, and it was always me - sad, unwilling self.

To escApe - from the struggles, from the roneos, from mum, my frail mum, from the sad evenings of my once cheerful family, and above all, from me.





lundi 13 octobre 2008

Time's gone

Crush a day between your two palms and anihilate it. Again.

And as the hours are falling to pieces into my hands, the roofs of the city lay still beneath my eyes.

vendredi 10 octobre 2008

Mélancolil

This would be... part of what I feel.

mercredi 10 septembre 2008

Push the music louder and Dance.

dimanche 31 août 2008

Mon frère est parti se bourrer et j'aurais aimé faire de même.
Jme suis servie une rasade de bayley's dans une tasse bleu trop cool, et jvais me faire un rail de grey's anatomy.

pardon mica

rien de grave, jvais aller souvent au resto, stout.

vendredi 4 juillet 2008


petit ressort contre le mur pour que le jouet amuse

lundi 16 juin 2008

Viva Patafix! (2)


J'ai même racheté de la Patafix...

mercredi 4 juin 2008

Le cynisme des Etats face à la réalité de la crise alimentaire

Par Rue89 Edito | 03/06/2008 | 08H23

Dans le théâtre de la diplomatie mondiale, Rome est mardi l’endroit où il faut être. La capitale italienne accueille en effet le sommet mondial de l’alimentation, prévu de longue date, mais auquel la récente vague d’émeutes de la faim dans des capitales du monde en développement a soudain donné un caractère d’urgence. Ils seront donc tous présents pour la photo de famille, au chevet d’une planète qui redécouvre le mot “faim”.

Etrange sommet, au demeurant, puisque Nicolas Sarkozy y croisera des dizaines d’autres chefs d’Etat, dont certains pestiférés comme le zimbabwéen Robert Mugabe, pourtant responsable des problèmes alimentaires dans son pays, ou l’Iranien Mahmoud Ahmadinejad qui s’est invité tout seul.

Mais l’indécence n’est pas tant la présence de ces personnages contestés, que l’hypocrisie internationale sur le sujet. Le sommet débouchera sur une grande déclaration d’intentions, mais aucun engagement précis, déplorait le rapporteur spécial de l’ONU sur le droit à l’alimentation -car c’est un droit reconnu internationalement-, le Belge Olivier de Schutter. Et d’appeler à aller au-delà des mesures d’urgence en réinvestissant massivement dans l’agriculture, en particulier en Afrique, clé de l’avenir.

Trop d’intérêts sont en jeu dans cette équation agricole: d’abord ceux des agrocarburants entrés en concurrence frontale avec l’alimentation, ceux des agriculteurs protégés des pays du Nord, ou encore ceux des spéculateurs qui profitent de la situation de crise pour accroître leurs profits.

Plus grave encore, à côté de ces urgences conjoncturelles qui affectent principalement les villes, il existe une sous-alimentation structurelle, principalement en Afrique et dans le sous-continent indien, qui tue chaque année entre 2 et 5 millions d’enfants de moins de trois ans. C’est-à-dire entre 5000 et 13000 enfants qui meurent chaque jour. Médecins sans frontières, qui est entré en guerre contre ce phénomène, souligne qu’il est parfaitement identifié et cerné, et que les solutions existent: une nouvelle génération d’aliments thérapeutiques jugés très efficaces. Or, selon MSF, seuls 3% des cas de malnutrition sévère reçoivent un traitement adapté.

Il y aura, autour de la table du sommet de Rome, les représentants des pays qui disposent des technologies et des entreprises capables d’agir, il y aura les représentants des pays pétroliers qui ont vu leurs revenus gonfler en centaines de milliards de dollars. Et il y aura des organisations du système des Nations Unies dont c’est la mission d’éradiquer la faim.

Et pourtant, faute de leadership et de volonté politique, il y a peu de chances de se tromper à pronostiquer que ce sommet ne permettra pas de traiter ne serait-ce qu’une petite partie du problème qui serait de sauver ces enfants. Dans le cynisme des relations internationales, on se contentera d’une belle photo de famille et de vagues promesses.

Pierre Haski

► Edito diffusé mardi 3 juin sur Europe1. Retrouvez l'édito de Pierre Haski tous les mardi et jeudi à 7h42 sur Europe1, et en podcast en cliquant ici.

mardi 3 juin 2008

samedi 24 mai 2008

Viva Patafix!


These are my toilets. Come and see it

mardi 20 mai 2008

98

J'ai relu des vieux posts. de mai à novembre 2006 exactement.
Je n'écris plus, quasiment jamais. je ne griffone plus. je ne post plus de textes, marrants, déjantés, déprimés. C'est comme si on avait dépleuplé ma tête de mots. Vide.
Dommage.

Et je m'ennuie. Vive la p2.

mercredi 7 mai 2008

J'ai pris ma douche au soleil, j'en ai foutu partout, c'était divin.
J'ai lu 5h30 de suite, 5 de trop.
J'ai l'impression d'avoir déjà écrit ce post des milliers de fois.
Cette aprèm, je vais faire chauffer la carte bleue.

Et je devrais faire mal aux gens plus souvent.

dimanche 20 avril 2008







vendredi 28 mars 2008


Not everyone can afford to be romantic.

mardi 18 mars 2008


J'ai pas beaucoup de mots.

vendredi 14 mars 2008

Tsais que c'est des études longues et difficiles..


J'ai peur de pas être à la hauteur. A ma hauteur.
Grand-père m'a jamais manqué autant que cette année.


je merdouille trop ces temps ci.

vendredi 22 février 2008

Mon vélo, ma plume et mon chat.

Mon vélo, ma plume et mon chat.
C'est comme de très vieux potes, they'll give you a lift, rien que par leur présence. Comme des très vieux très bons potes, sauf qu'on ne s'engueule jamais avec eux. Et puis ils sont à demeure, toujours dispos. Quand ils sont perdus, devant le cinéma, cassé ou abandonné, c'est panique à bord. Jsuis juste désemparée. En fait, c'est des chauferettes de mon petit moi.
On peut pas discuter avec eux, alors je préfère mes potes, mais quand même, mon vélo, ma plume et mon chat... c'est pas n'importe quoi.

C'étaient deux très très mauvaises journées.
J'ai passé la soirée avec Pierre, devant la Nouvelle Star. Et dans les intervalles de pub, il entonnait à pleine voix une paillarde de son invention. Top mortel :D

vendredi 15 février 2008

rAncUne



sté pas juste de mettre everybody hurts. et de me dire de pas m'inquiéter. de jamais me dire.
Il y a une chanson qui va avec everybody hurts : with a little help from my friends.

Je ne ris pas assez, il faudra y remédier. je suis trop sensible, trop seule, trop morcelée, trop grande gueule. trop.
je fuis dans les livres et le travail, le ciné. j'apprend, un peu de tout. L'incroyable chacun-pour-soi de 4 minutes.

Jvous fais confiance, les gens, tous, avec toutes vos différences. Zavez une sacré force de caractère, chacun (ce n'est pas le même chose que du caractère), surtout toi, petit démon.
Jvais connaître un maximum de gens en école l'année prochaine ^v^

A votre entière disposition
Même si je ne suis utile qu'à la chèvre.....

dimanche 10 février 2008

remember girls, it's much easier to create pain than to witness it.



It's a sunny day.

mardi 29 janvier 2008

;p


Désolé laya, yavais pas de cheveux bouclés,j'ai pas réussi à faire quelque chose de ressemblant, on te reconnaissait pas.


http://www.maliki.com/mali_mode.html

dimanche 27 janvier 2008

4 minutes

"Le prince André regardait Pierre en silence et souriait ironiquement.
- Quand tu verras ma soeur, la princesse Marie, vous vous entendrez très bien, dit-il. Peut-être as-tu raison de ton point de vue, ajouta-t-il après un silence. Mais chacun vit à sa façon : tu as vécu pour toi seul et tu dis que tu as failli gâcher ta vie et que tu ne connais le bonheur que depuis que tu as commencé à vivre pour autrui. Et moi j'ai éprouvé l'inverse. J'ai vécu pour la gloire (et qu'est ce que la gloire ? Toujours ce même amour pour les autres, le désir de faire quelque chose pour eux, le désir d'obtenir leurs louanges). Ainsi j'ai vécu pour les autres et je n'ai pas failli gâcher ma vie, je l'ai complètement gâchée. Et j'ai retrouvé la paix depuis que je vis pour moi seul.
- Mais comment vivre uniquement pour soi ? insista Pierre en s'échauffant. Et votre fils, et votre soeur, et votre père ?
- Mais c'est toujours moi, ce ne sont pas les autres, dit le prince André. Les autres, les proches
le prochain, comme vous les appelez, toi et la princesse Marie, c'est la source principale de nos errements et du mal. Le prochain, ce sont les paysons de Kiev auxquels tu veux faire du bien.
Il regarda Pierre d'un air railleur, provoquant. Visiblement, il le défiait."
Léon Tolstoï
La Guerre et la Paix


jeudi 17 janvier 2008

le Bal

J'ai gagné quelques rides entre les sourcils. Mais j'ai gagné. A ce jeu dangereux de chat et de souris, où il faut, comme dans Matrix, être bien convaincu que les balles n'existent pas et ne pas céder un pouce du terrain.

Vous avez lu le Bal? C'est une jeune fille de 14ans, maigre et blanche, tourmentée par sa mère, qui voit en elle une rivale. Sa mère donne un bal, qui établira sa nouvelle aisance, sa promotion sociale. Elle confie à sa fille les enveloppes à poster, et la demoiselle les jette à l'eau et les regarde tomber comme des confettis. Le jour du bal vient. L'excitaion, puis l'impatience, puis l'angoisse, puis le désespoir. Et la jeune fille, diaphane, durcie par sa mère et vengée d'elle, pour l'instant, vient la consoler, au milieu des rêves déchus et des espoirs brisés. Par elles.

Je pars au Burkina Faso. En Août parce que c'est ce qui m'arrange. Je ne peux pas aller huit jours en vacances avec eux aux States, même si c'était convenu. J'irai cinq et même pas du tout, si je peux. Je suis, comme dit Pierre, une vraie bourgeoise bobo du 6e, pure souche. Peut-être plus profondément que lui. Maman, en octobre, a déjà déchainé toute sa violence sur moi, apparemment, elle n'en avait pas en stock ce soir. C'est fini, presque. Et pour faire mal aux gens, il ne faut pas les aimer de trop.

J'ai tenté de préservez mon grand frère, si fragile derrière tous ses muscles. Je crois que de ce point de vue c'est raté. A certain endroit, je suis dure, presque implacable.

Je ne sais même pas si il faut me croire...

lundi 14 janvier 2008

Into The Wild




Envie de tracer la route jusqu'à la Chine au moins, en passant par Berlin, Saint-Petersbourg, la Sibérie et l'Inde. Avec une voiture, un appareil photo, un ordi, un cahier, et le don de parler aux gens et de taper la discut à tous les gens sur mon chemin.
Ce serait différent des voyages parentaux, translation au bout du monde, mais sans quitter leur cage de billets verts. Peut-être que je suis trop sévère et que c'est juste une excuse parce que je ne sais pas parler aux gens... alors que j'aimerais tant !
Alors, jusqu'en Asie, de l'Atlantique au Pacifique, quelqu'un m'accompagne? Et ptet au-delà, si la voiture peut passer l'Océan.
Il s'agit toujours de gagner ce que je n'ai pas, pour atteindre des limites qui ne sont pas les miennes...

jeudi 10 janvier 2008

I've a problem : I'm out of drug!

vendredi 4 janvier 2008



if life was this way